La première démonstration de galerie de toit que nous ayons trouvée date de 1931 (revue La Rivière n° 240, 1931).
Boutin (1961) conseille de sangler le bateau à l'envers pour raisons de meilleure stabilité et de moindre prise au vent.
Boutin (1961, p. 77) interpelle sur le problème du transport du bateau sur la galerie de la voiture. En effet, la force du vent et le soleil provoquent un dessèchement accéléré du bois mouillé, ce qui fragilise les coques dont l'étanchéité tient au gonflement du bois ou au calfatage.
On pourrait donc conclure (à la lecture d'autres paragraphes de son livre) qu'il vaudrait mieux faire sécher le bateau avant de le transporter ou peut-être de le protéger d'une housse évitant le contact direct au soleil et au vent.
Boutin (1961, p. 78) propose deux systèmes facilitant la mise en place, seul, d'un bateau léger sur un toit de voiture.
Sans schéma illustrant son propos, nous ne comprenons pas la première proposition attribuée à P-C Louis.
La seconde consisterait (à ce que nous avons pu en comprendre) en une galerie à berceaux, coulissant sur les barres de toit (sur des rouleaux) et sortant de la voiture par l'arrière. On pourrait ainsi charge le bateau à l'oblique et le faire coulisser sur les barres sans l'abîmer.
Une première proposition est faite dans le Rivière (n° 240, 1931) : un adhérent du CCF a tout simplement adapté son chariot de canoë "Fluctuat" à l'arrière d'une
voiture.
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